Après l’important programme lié au Jeux Equestre Mondiaux, que nous avons pu financer grâce à la création du Club des Entreprises Mécènes du Haras national du Pin, notre association s’est orientée vers les actions de « french-touch », complémentaires des grands projets nés par le Conseil départemental.
SAUVEGARDER, VALORISER ET TRANSMETTRE LA CULTURE DU MONDE EQUESTRE
![]() | ![]() | ![]() |
---|---|---|
![]() | ![]() | ![]() |
![]() |
Créée le 15 décembre 2008, sous l’égide de Monsieur Jean-Paul Guerlain, et avec le soutien de Madame Danièle Mars, la Société des Amis des Haras nationaux a pour mission de « promouvoir la culture équestre et développer les valeurs historiques et culturelles s’y rapportant ».
Reconnue d’intérêt général, elle est habilitée à délivrer les certificats fiscaux permettant des déductions d’impôts pour les dons reçus dans le cadre de cet objet.
Ses premières actions ont principalement concerné le patrimoine mobilier et immobilier des Haras nationaux, et plus particulièrement celui des sites du Pin et d’Uzès. Dans ses deux sites, elle a développé des « Cercles de Mécènes » regroupant entreprises et particuliers en faveur de programmes définis en coopération avec le bénéficiaire. Cette structure particulière lui permet de maintenir une implication à la fois directe et décentralisée.
NOTRE A.D.N.
Favoriser
La transmission des savoirs
- en favorisant les relations avec les établissements d’enseignement technique et les entreprises afin de maintenir la connaissance des savoirs-faire particuliers de la filière, fréquemment basés sur l’expérience.
L’intégration de l’insertion
- en confiant des chantiers à des associations d’insertion, et redonner ainsi à leur membres une reconnaissance dont ils sont trop fréquemment privés
La sauvegarde de la mémoire
- en offrant la possibilité de regrouper sur un site géré les photos, documents, présentations ou récits concernant la « culture équestre » et assurant ainsi leur sauvegarde.
Agir
- en facilitant la réalisation de projets : en apportant le complément nécessaire pour boucler le plan de financement.
- en privilégiant les compléments de « French-Touch », en finançant les éléments de « finition », fréquemment oubliés dans les programmes « globaux ».
- en soutenant l'emploi d’opérateurs locaux et de structures d’insertion.